Hello la souris, comment vas-tu ? Ce soir, je te partage une écriture que j’ai faite. Celle-ci se nomme Ma mission et relate un cauchemar que j’ai fait et vécu – le matin j’ai cru que c’était réelle tellement j’ai ressenti une forte douleur au cœur – il y a quelques semaines déjà. Dis-moi ce que tu en penses, en commentant cet article. Merci à toi.
“ Je me trouve dans un bâtiment de la République Française où se trouve deux individus sous protection judiciaire. Premièrement deux assassins d’enfants, bientôt reconnus coupables, deuxièmement, j’apprends qu’ils n’iront pas en prison. Il est 21h, la foule mécontente se tient debout devant le portail noire. Celle-ci hurle “assassin” et ne peut franchir le grillage à cause d’un barrage mis en place par les policiers et les CRS. Autrement dit, je décide de la contourner en allant à l’arrière car peu de monde. J’ai la mission de mettre ces deux meurtriers devant les faits et les enfermer à tout jamais. Arrivée à l’arrière de la bâtisse, quelques personnes me soutiennent et me chuchotent d’aller fort et de faire attention à moi.
Puis, je prends mon élan et je cours à toute vitesse. Je me trouve dans un parc et je passe devant certains Ministres. Ceux-ci m’hurlent dessus en me demandant de m’arrêter. Ce que je ne fis pas. Sourde de leurs paroles, je saute et m’agrippe à un rempart de la maison. J’entends des tirs, au loin, derrière moi. Je grimpe et casse une fenêtre. Le combat peut commencer… Discrète, je marche telle une fourmi pour faire le moins de bruit possible. Eux vont essayer de m’arrêter voire me tuer; moi je dois juste les assommer ou leur briser un membre. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que les balles ne me font rien. Chut c’est un secret !
Je me trouve au 4ème étage et deux hommes sont au troisième. Je connais un passage secret où des escaliers, certes anciens, appartenaient aux domestiques de Louis XVI. Personne à l’horizon, je me dirige vers cette pièce puis j’aperçois un autre garde. Vite, je ferme la porte. Celui-ci se précipite sur elle. Il donne de violents coups de pieds dans la porte. Un autre arrive à sa rescousse. Je me précipite vers l’ouverture du passage.
J’actionne la statuette, à côté de la coiffeuse et je me faufile derrière ce mur caché. Quand ils entrent dans la pièce, il n’y a plus personne. Je descends les escaliers pas à pas, tout en douceur. Je tends mon oreille sur le mur, d’en bas les escaliers. Pas un son se fait entendre. Donc j’active l’ouverture de la porte. Une pièce sombre, j’arrive dans une salle-de-bain. Sympa le marbre mis au mur quand on sait pertinent que le peuple meurt de faim. Je vois que certains ont des goûts de luxe ! J’ouvre la porte d’entrée de la pièce de bain et je tombe, nez à nez, avec trois flics. Ceux-ci discutaient tranquillement de politique. Rien que ça !
Ensemble, ils viennent à ma rencontre en me disant ceci : – Les mains sur la tête jeune fille. Nous ne voulons pas te faire du mal. (Ben oui, je n’ai que 15 ans) – On se calme, messieurs. Pourquoi mettrai-je les mains en l’air ? Je n’ai encore rien fait de méchant ! Savez-vous que vous protégez deux pourritures ? J’ai une mission ce soir : c’est de les foutre au trou, une bonne fois pour toutes.
Et vous, vous ne voulez pas. Que c’est mignon de protéger ses collègues, dis-je sur un ton ironique en souriant.” Puis, je finis pas faire craquer mes doigts en les croisant puis me mets en position de Ninja et leur fais signe qu’ils peuvent venir. Quelques minutes plus tard, je les ai mis tous K.O ! C’est ça d’être la “chose” missionnée pour faire le travail des autres. Dehors, par la fenêtre, je vois la foule grandissante. Celle-ci, en colère et essayant de franchir la bâtisse. Par conséquent, une altercation commence entre civiles et policiers. Il faut que j’intervienne.
Je me mets sur le balcon et crie : “STOooooop !” Tout le monde se fige et regarde vers le haut, subjugué par ma voix. Arrêtez de faire ça. Je ne souhaite avoir aucun blessé grave des deux côtés. Mon nom est Justice, faites-moi confiance. Je suis payée par un haut gouvernement voulant voir ces deux crapules, barbares moisir leur reste de leur vie dans une cave…
Le mot de la fin
Pas eu le temps de terminer que je reçois une balle en plein cœur. La puissance de celle-ci me projette fortement en arrière. J’ai le souffle coupé. Quoi qu’il en soit, je me relève sans difficultés pourtant et préfère ne pas me montrer vivante et chercher ces deux assassins. Ma colère est plus grande, plus intense et j’ai assez perdu de temps avec eux. Je me précipite vers la pièce des “sauvages”. Allongés sur un canapé en velours, ils prononcent ces mots : Ah te voilà enfin ! Nous t’attendions avec impatience.”
Cauchemar vécu et écrit par Edith Bee
Si tu souhaites en lire davantage, je te conseille d’aller voir la « face B » avec cette histoire. Bisous
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