« Au milieu de la salle se trouve le corps d’une femme. Toute nue, elle est. Sa peau est blanche comme la neige, avec un soupçon de rose. Je m’approche d’elle. Celle-ci n’a pas de visage. Étrange ! Elle est en train d’agoniser. Je ressens la souffrance qu’elle est en train de combattre. Je m’agenouille à…